La Mission French Tech est la mission de l’État chargée de soutenir la structuration et la croissance de l’écosystème des startups françaises, en France et à l’international. Rattachée à la Direction Générale des Entreprises, au sein du ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté Industrielle et Numérique, elle fédère et anime l’écosystème de la French Tech.
Parmi les projets de cette riche promotion, 11 startups ont été accélérées par WILCO, et font de l’écosystème French Tech un modèle à l’international :
Depuis 3 ans, la France est le 1er pays d’Europe en termes d’attractivité des investissements internationaux, et les stratups occupent une place importante dans l’écosystème.
Au total, les entreprises du French Tech Next40/120 représentent 47 800 emplois, soit une hausse de 5,8% sur un an, et plus de 70% depuis 2020.
L’annonce du French Tech Next40/120 est l’occasion de dresser un bilan du dynamisme de l’écosystème des startups françaises. En 2022, un niveau record a été atteint avec 13,5 milliards d’euros de levées de fonds, soit une hausse de 16% par rapport à 2021, avec 93 acquisitions réalisées en majorité par les start-up du French Tech Next40/120 et dirigées vers des concurrents étrangers.
En 2022, le chiffre d’affaires cumulé de l’ensemble des 120 entreprises du programme représente 11,3 milliards d’euros, contre 9,5 en 2021. Par ailleurs, 72% d’entre elles ont au moins doublé leurs revenus de 2019 à 2022.
C’est en premier lieu la promotion d’une année symbolique : celle des 10 ans de La French Tech, et c’est la première à intégrer des engagements sociaux et environnementaux. Il a été demandé à l’ensemble des startup lauréates du programme de s’engager en faveur de l’environnement, de la parité et de l’inclusion.
De nombreuses startups du French Tech Next40/120 sont donc déjà engagées dans des actions en faveur de la transition écologique, mais l’ambition collective est d’approfondir et de systématiser cet engagement. C’est pourquoi il a été demandé à l’ensemble de la promotion de se mobiliser autour d’une action commune : réaliser un bilan carbone « scope 1, 2 et 3 » d’ici la fin de l’année 2023.